Marx et Adorno. La Philosophie de l'Histoire
L'école de Frankfort abandonne progressivement les thèses de la philosophie de l'Histoire, dont l'acceptation fournissait une espèce de fondement pour la théorie critique, dans la mesure où l'on pouvait croire aux contenus émancipateurs de la raison inclus au sein même des idées...
Autor principal: | |
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Formato: | artículo científico |
Lenguaje: | French |
Publicado: |
Pontifícia Universidade Católica do Rio Grande do Sul
2009
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Materias: | |
Acceso en línea: | http://www.redalyc.org/articulo.oa?id=74213095008 http://biblioteca-repositorio.clacso.edu.ar/handle/CLACSO/59081 |
Sumario: | L'école de Frankfort abandonne progressivement les thèses de la philosophie de l'Histoire, dont l'acceptation fournissait une espèce de fondement pour la théorie critique, dans la mesure où l'on pouvait croire aux contenus émancipateurs de la raison inclus au sein même des idées de la société bourgeoise. Nous essayerons de montrer ce qui est oublié dans les thèses de la philosophie de l'Histoire à partir de la dialectique du maître et de l¿esclave de Hegel, et donc, pourquoi de telles thèses se sont montrées insuffisantes. Enfin, nous chercherons à démontrer que la figure théorique opposée aux thèses de la philosophie de l'Histoire se retrouve dans Über den Begriff der Geschichte de Benjamin. De plus, la récupération d'un tel fondement oublié dans les thèses de la philosophie de l'Histoire détermine, vraisemblablement, la considération morale de la théorie critique habermasienne. |
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