Presidential cabinets, electoral cycles, and coalition discipline in Brazil

Tous les gouvernements formés au Brésil entre 1985 et 1998 comprennent des politiciens d'au moins deux partis. Tous pourraient être définis comme étant de coalition. Cet article cherche à évaluer la véracité de cette affirmation sous l'angle du comportement législatif des partis qui compos...

Descripción completa

Detalles Bibliográficos
Autor principal: Octavio Neto Amorim
Formato: artículo científico
Lenguaje:Portugués
Publicado: Universidade do Estado do Rio de Janeiro 2000
Materias:
Acceso en línea:http://www.redalyc.org/articulo.oa?id=21843303
http://biblioteca-repositorio.clacso.edu.ar/handle/CLACSO/49309
Descripción
Sumario:Tous les gouvernements formés au Brésil entre 1985 et 1998 comprennent des politiciens d'au moins deux partis. Tous pourraient être définis comme étant de coalition. Cet article cherche à évaluer la véracité de cette affirmation sous l'angle du comportement législatif des partis qui composent chaque gouvernement. Pour cela, il propose un indicateur qui mesure le taux de coalescence des gouvernements sur la base du rapport entre le pourcentage de ministères occupés par chaque parti représenté et le pourcentage de sièges législatifs détenus par chacun de ces partis. Par le moyen de l'analyse de régression, on vérifie l'impact de ce taux de coalescence sur la discipline législative des partis qui intègrent le gouvernement. Outre ce taux de coalescence, on vérifie aussi l'effet des cycles électoraux et de l'ampleur idéologique des gouvernements sur la discipline législative. Selon les résultats, ce n'est que sous des gouvernements avec des taux élevés de coalescence que les partis au gouvernement présentent une discipline législative en accord avec celle qu'on attend d'un gouvernement de coalition. Les tests démontrent aussi que pendant la durée du mandat présidentiel se produit un affaiblissement de la discipline législative des partis représentés au gouvernement et que plus un parti est éloigné idéologiquement du Président, plus son d'appui à ce dernier est réduit.